Rencontre du comité du MAPAQ sur l’offre alimentaire santé

Avril 2019

Le MAPAQ a créé un comité de travail sur l’offre alimentaire santé, qui réunit trois fois par année les partenaires de l’industrie, Sylvie Bernier, présidente de la Table québécoise pour une saine alimentation, et deux représentantes du MSSS spécialistes du sujet. Le 27 février dernier, tous étaient conviés à une visite de l’usine Fruit d’or, de Villeroy, qui transforme et met en marché canneberges et bleuets sauvages du Québec. Martin Lemoine, le président de Fruit d’or, a expliqué durant près de deux heures aux invités l’historique et les perspectives de croissance de l’entreprise.

En après-midi, l’ADA a présenté les faits saillants de l’étude de Sylvain Charlebois dévoilée lors du dernier congrès, suscitant plusieurs échanges entre les participants. De plus, les discussions ont touché plusieurs projets actuellement menés par les autorités pour évaluer l’évolution et le potentiel d’amélioration nutritionnelle de certains aliments transformés qui figurent parmi les cibles de la nouvelle politique bioalimentaire. Benoît Lamarche, chercheur à l’Institut national des aliments fonctionnels, a également expliqué la démarche entourant le lancement de Nutriquébec, une grande étude des habitudes alimentaires de milliers de Québécois menée sur plusieurs années. À terme, l’étude vise à obtenir un portrait précis des comportements alimentaires des Québécois en lien avec l’offre alimentaire disponible près de leur domicile, mais pourrait aller plus loin encore dans les éléments étudiés.

Enfin, la dernière séance de la journée portait sur la responsabilité des détaillants à l’égard d’un emballage alimentaire qui respecte la salubrité des aliments commercialisés. À cet égard, nous vous rappelons que l’information est disponible sur le site Internet du MAPAQ.

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L’ADA est en communication avec le MAPAQ et l’ACIA
pour obtenir des réponses concrètes concernant
les modalités d’application pour les détaillants en
alimentation. Nous croyons qu’il est essentiel que
les détaillants aient l’heure juste sur ce qui est permis
ou non dans un commerce alimentaire afin d’éviter
toute infraction aux lois provinciales et fédérales.

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